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 [Presse] 24 heures avec John Cena - francesoir.fr

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Vicky
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Vicky


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MessageSujet: [Presse] 24 heures avec John Cena - francesoir.fr   [Presse] 24 heures avec John Cena - francesoir.fr Icon_minitimeLun 4 Oct - 4:59

Catch - 24 heures avec John Cena

Maxime Mianat 28/09/10 à 08h00

Nous avons suivi durant une journée la star américaine John Cena, qui a soulevé l’enthousiasme de Bercy vendredi et samedi soir.

Des catcheurs présents vendredi et samedi soir à Paris pour deux shows exceptionnels de la WWE, l’Américain John Cena, 33 ans, est assurément le plus connu et le plus impressionnant. Le suivre dans son marathon médiatique impose une condition physique optimale et une préparation spécifique.

Vendredi, 14 h 30
Le son au maximum, je visionne une nouvelle fois sur You Tube un combat de John Cena pour m’imprégner du personnage puis, confronté à l’énervement de mes confrères, décide finalement de l’attendre à l’hôtel California, situé près des Champs-Elysées.

15 h 10
Cena arrive à l’hôtel avec dix minutes de retard en raison des embouteillages. « Enlevez-moi ce maquillage », dit-il à son équipe, avant de fendre la foule de journalistes pour se diriger vers la salle d’interview. Il en donnera vingt en une heure, à raison de trois par tranches de dix minutes.

15 h 25
Le flux de journalistes ne faiblit pas. Il y a les spécialisés – « Cena, je connais sa vie par cœur », pérore un petit brun – et les curieux, comme cette journaliste suisse de 20 minutes. « En Suisse, les catcheurs ne viennent pas. Mais il y aura un show bientôt à Genève. Cena est très connu chez nous, sans atteindre, forcément, la notoriété de Roger Federer. »

15 h 45
Alors que j’imagine Federer combattant Nadal en tenue de catch, on m’invite enfin à entrer en salle d’interview. Lorsque apparaît Cena, impressionné par sa stature (1,86 m, 109 kg), je bégaye laborieusement mon nom en guise de présentation. Le catcheur s’assied sans marcher sur les lacets défaits de ses baskets rouges – il en faut plus pour le faire tomber – puis se lance dans la promotion du catch, de son film Legendary et, bien sûr, de ses propres mérites. « D’où je tiens mes muscles ? Je soulève des haltères quatre fois par semaine. » Ah, d’accord.

15 h 51
L’homme que l’on croyait robot dévoile une âme d’artiste sous son blindage : « J’ai composé ma musique d’entrée en scène. En terminant la première version, je me suis rendu compte qu’elle était nulle. Alors j’ai retravaillé et recréé une seconde version, puis une troisième, définitive. » C’est à leur persévérance qu’on reconnaît les grands compositeurs.

16 heures
L’entretien terminé, je pose à ses côtés pour la photo. Maman sera fière. Dans moins de trente minutes, après avoir rencontré plusieurs fans français triés sur le volet, Cena se rendra au cinéma Gaumont Marignan pour une projection privée de son film Legendary.

16 h 55
Des jeunes femmes en larmes, des adolescents déchaînés et, plus surprenant, des hommes à l’apparence très sérieuse, en chemise, qui deviennent d’un seul coup aussi agités que des animaux : devant le cinéma Gaumont, l’effet Cena bat son plein. L’Américain ne restera que dix minutes, le temps d’adresser un salut militaire à la foule. Ce geste n’a rien de surprenant, puisque Cena assume totalement son patriotisme : il a joué en 2007 le rôle d’un marine américain au cinéma et a rencontré des soldats il y a quelques mois.

18 heures
A deux heures trente du début du show, le public est déjà nombreux sur l’esplanade du Palais omnisports de Bercy. Les places au premier rang, vendues 90 €, se négocient au marché noir à 130 €. Une famille me parle « de sa chance » d’être là. Le fils a découvert le catch à la télévision, sur AB1 et RTL 9. Me voyant, il m’adresse un salut militaire. L’influence de Cena est partout palpable, pas seulement sur les affiches, les tee-shirts et dans les boutiques. Une vendeuse m’assure pourtant que « tous les catcheurs sont mis en avant par la Fédération ». On les cherche encore. Tout près de là, l’Américain se repose à l’hôtel Pullmann, lieu d’hébergement de la délégation de la WWE.

18 h 40
Tête d’affiche mondiale du catch, vedette de plusieurs films et multimillionnaire, John Cena « n’est pas encore aussi connu que ne le fut Hulk Hogan dans les années 1980, m’informent Célian Varini et Marc Chavet, commentateurs sur Eurosport. La WWE essaie de le mettre en avant, mais il n’a pas encore la notoriété d’un Tim Duncan. En réalité, contrairement aux idées reçues, beaucoup de médias américains ne considèrent pas le catch comme un vrai sport, mais plutôt comme une série télévisée sous testostérone. La force du catch passe d’abord par l’identification aux personnages. »

20 h 30
Le spectacle commence. A l’heure. Je repense à une phrase de John Cena : « Tu peux être un jour tout en haut et, d’un seul coup, redescendre. » Des jeunes spectateurs reprennent la citation mot pour mot pour quitter leurs places en hauteur et se diriger près du ring.

22 h 08
La musique d’entrée en scène de John Cena retentit. Le stade gronde, le public du premier rang se presse près des barrières pour tenter d’obtenir de la star une poignée de main, sinon un regard. Le morceau composé par John Cena, habile dosage entre le rock US et le bruit du périphérique un samedi soir, se fait de plus en plus fort. Mozart peut dormir tranquille, malgré le tohu-bohu qui devrait pouvoir s’entendre jusqu’à Vienne.

22 h 09
John Cena distribue son premier marron. Simulé, évidemment, ce qui n’empêche aucunement la foule de vrombir.

22 h 15
L’Américain profite du fait que son adversaire est à terre pour lui refaire le portrait en se jetant sur lui. La réaction du public ne se fait pas attendre : « Cena, Cena, Cena ! » Devant ses fans, il tape du poing sur le torse en criant You can see me ! en pleine quatrième dimension.

22 h 20
L’arbitre – enfin, surtout le scénariste de la WWE – le désigne vainqueur. Cena quitte la scène en héros. Demain, il se lèvera tôt pour signer des autographes au Virgin des Champs-Elysées.

Samedi, 11 h 15
Attendu à 11 heures, Cena arrive, en bon Parisien, avec un quart d’heure de retard. Il se montre sympathique et proche de ses fans. La séance se prolongera jusqu’à 13 heures, puis en soirée notre héros disputera un second combat devant plus de 15.000 personnes.

source : francesoir.fr
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